À titre du directeur pour les membres GLBT au Conseil de la région de l’Atlantique de l’ AFPC, je joindrai bientôt ma voix à celle de nombreux autres membres de l’AFPC d’un bout à l’autre du Canada et de gens un peu partout dans le monde pour souligner la Journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie.
Le 17 mai 1990, l’Assemblée mondiale de la Santé de l’Organisation mondiale de la santé a approuvé la 10e révision de la Classification statistique internationale des maladies et des problèmes de santé connexes, qui a retiré l’homosexualité de la liste des maladies.
En 2004, le 17 mai a été désigné Journée internationale contre l’homophobie, une journée pour réclamer des politiques publiques favorables aux GLBT. Aux quatre coins du globe, toutes sortes d’activités sont organisées pour marquer cette importante journée.
Dans plus de 120 pays, des personnes, des groupes et des organisations profitent du 17 mai pour attirer l’attention des autorités politiques sur la violence et la discrimination auxquelles les GLBT font face au quotidien.
Partout dans le monde, les membres de la communauté GLBT sont victimes d’atrocités. Aux États-Unis et au Canada, ils sont encore plus maltraités depuis l’élection de Trump. Et la communauté trans semble être particulièrement touchée.
Dans certains pays, les GLBT sont poursuivis en justice, emprisonnés et même tués en raison de leur orientation sexuelle.
À l’occasion de la Journée internationale contre l’homophobie, je tiens à célébrer notre diversité et à promouvoir les droits des GLBT en tant que droits de la personne. Ne cessons jamais de lutter pour que notre monde devienne un endroit sécuritaire pour tous et toutes.
En toute solidarité,
Wayne Kelley
Directeur pour les membres GLBT, AFPC-Atlantique
Jeannie Baldwin
Vice-présidente exécutive régionale, AFPC-Atlantique